Difficile de ne pas avoir entendu parler de Blender dans le monde de la modélisation 3D et des images de synthèse.
Gratuit et pourtant d’un niveau ultra-professionnel (il vous demandera donc un apprentissage poussé si vous souhaitez sortir la prochaine production animée digne des studios Pixar, car cela est absolument possible) il reste accessible au grand public pour le bonheur de tous.
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Blender : Du professionnel au gratuit
L’histoire de Blender est toute particulière lorsque l’on comprend que la société éditrice originelle avait pu sortir un logiciel si performant que le coût de son développement en devint trop important.
Il aurait été dommage pour autant de se séparer d’un logiciel d’animation qui rivalise avec un géant commercial tel que 3D Studio Max et la solution de revendre le code source à la communauté du logiciel libre fut ce qu’il y a de plus judicieux et de profitable pour tous.
Depuis son passage en open source, Blender vit son développement fortement accéléré et celui-ci atteint aujourd’hui des sommets en possibilités pour créer courbes de Bezier et autres B-SPline.
C’est la Fondation Blender qui est en charge du projet de nos jours avec des traductions dans de nombreuses langues et un support sur les plateformes Microsoft Windows, Mac OS X et bien évidemment GNU/Linux, IRIX, Solaris, FreeBSD, SkyOS, MorphOS et Pocket PC.
Ceux qui maîtrisent le langage Python pourront l’agrémenter de leurs propres scripts car Blender est conçu comme un logiciel « extensible ».
De la modélisation 3D à l’animation 3D
Blender permet de créer des objets de formes géographiques simples comme n’importe quel logiciel de modélisation, mais là où il a su très rapidement se démarquer est dans sa capacité à combiner par exemple des Nurbs ou des B-SPline par des opérations booléennes.
C’est ce qui a permis de progresser grandement dans l’imagerie de synthèse en utilisant squelettes et morphing pour appliquer des déformations selon des scripts.
Mais Blender supporte également toutes les bases de l’animation 3D avec des effets à base de flares, de motion blur ou encore pour faire du mapping pour les décors.
Sur des logiciels traitants les moteurs graphiques, il est plutôt rare de trouver d’ailleurs inclus de base ce type de traitement, tel que le mapping puisqu’il existe des logiciels dédiés à cette tâche unique.
Ce ne sont donc pas simplement des objets 3D qui peuvent être créés et animés mais des univers et environnements très complets et qui effectivement permettent de créer des courts et longs métrages à destination du cinéma.
Des configurations tout public
Blender n’est pas des plus gourmand malgré des prouesses techniques. Il n’y aura que des modèles créés grâce à beaucoup de polygones qui demanderont une configuration plus puissante.
Configuration minimale :
- CPU : 1 GHz minimum
- RAM : 512 Mo
- HDD : 1 Go
- Résolution : 1024×768 en 16 bits
- Carte graphique : 64 Mo de RAM + compatible OpenGL
Configuration recommandée :
- CPU : Multi-cœur 64 bits
- RAM : 16 Go
- HDD : 500 Go 7200 tours minutes
- Résolution : double écran 1920×1080 en 24 bits
- Carte graphique : 768 Mo de RAM + compatible OpenGL 3.3 ou supérieure supportant GLSL
Un exemple de configuration pour agréablement utiliser Blender :
- CPU : Intel Xeon ou AMD Ryzen
- RAM : 64 Go
- HDD : en SSD
- Résolution : double écran 3840×2160
- Carte graphique : AMD Radeon VEGA 64 ou NVIDIA GTX 1080
De la modélisation avancée
Blender propose des fonctions avancées telles que du dépliage UV, le texturage et bien sûr de l’animation 3D avec rigging, blend et shapes. Blender est évidemment capable de compiler pour un rendu excellent (grâce au GPU en plus du CPU).
Il comporte même un moteur graphique pour jeu vidéo avec le Blender Game Engine qui est très apprécié des gamers souhaitant se lancer dans l’élaboration de leurs propres contenus.
De même qu’il est possible de pouvoir effectuer des simulations physiques en tous genres pour les corps souples, les fluides ou encore les particules pour des effets 3D toujours plus bluffants.
Avec autant de fonctionnalités, Blender reste pourtant assez léger puisqu’il pèse de 200 à 300 Mo seulement selon les versions du moment.
Son interface graphique est entièrement gérée en OpenGL mais ne suit pas une logique purement basée sur une UI qui reproduirait les automatismes de Windows, MATE ou KDE, ce qui peut en dissuader certains puisque les habitudes sont alors chamboulées.
Nous pouvons faire le parallèle avec le logiciel graphique libre et gratuit GIMP qui lui aussi souffre de cette réputation alors qu’il rivalise avec le très célèbre logiciel commercial Adobe Photoshop.
Une expérience utilisateur unique
Ne ressemblant à aucun autre, Blender permet l’utilisation massive de raccourcis claviers pour aller très vite et le plus simplement du monde dans son travail de production.
Les menus contextuels ont été revus et ajoutés pour permettre toujours plus de paramétrages.
Si Blender souffrait dans ses premières versions d’une interface qui pouvait sembler austère pour les plus débutants, c’est toute l’interface qui a été revue au passage du flambeau en open-source par la Fondation Blender.
Un développement continu
Conçu par le studio d’animation NeoGeo et la société éditrice NaN (Not a Number Technologies), Blender vit le jour sur la plateforme Amiga en 1989 en tant que ray tracer nommé tout simplement « Traces ».
C’est en 1998 et avec l’avènement encore récent des systèmes d’exploitations avec GUI que Blender devint un « partagiciel » (avec des fonctionnalités avancées sous licence commerciale).
Aidé par des investisseurs, Blender continua son développement mais un développement qui s’arrêta subitement puisque le logiciel d’animation était alors devenu totalement gratuit (un « graticiel »).
Les revenus jugés insatisfaisants par les investisseurs sonnèrent alors la fin du développement de Blender avec la faillite immédiate de NaN et même la fermeture du site web du logiciel.
Heureusement, toute la communauté de Blender vint à la rescousse et le rachat des droits d’exploitation de Blender pour le compte de la Fondation Blender vit le jour en 2002 avec enfin une diffusion du logiciel sous une licence libre Open GPL.
Aujourd’hui, la libération du code source au profit du monde du logiciel libre aura permis de grandes avancées majeures, tant au niveau de l’interface que des fonctionnalités internes du logiciel.
C’est un réel travail de recherche qui est effectué par les équipes de développeurs qui n’hésitent alors pas à tester de nouvelles idées et technologies via Blender.
Supportez Blender en apprenant à l’utiliser !
Si Blender est réellement un logiciel qui fait de l’ombre aux solutions professionnelles payantes dans le monde de l’imagerie de synthèse et de la modélisation 3D, il existe de nombreux tutoriaux pour vous guider pas à pas et vous aider à vous faire la main sur vos premières créations.
Si beaucoup de tutoriaux sont gratuits, il existe également des tutoriaux payants avec abonnement, mais sachez que les fonds sont alors directement injectés dans le développement de Blender.
C’est donc bien en apprenant à utiliser Blender que vous permettez son évolution et son développement !
Un moteur de rendu interne et une compatibilité externe
Historiquement, Blender était basé sur le moteur Hybride Blender Internal qui depuis la v 2.61 laisse la place au moteur Cycles. Blender continua d’évoluer pour proposer à la v 2.8 un rendu temps réel grâce au moteur Cycles avec EEVEE.
Blender inclut désormais Freestyle pour générer les lignes 2D sur un dessin 3D, pour la gestion des contours par exemple, et est compatible avec d’autres moteurs externes comme :
Indigo, Kerkythea, Mitsuba, Nox, YafaRay, Vray, LuxRender et Smallux, POV-Ray, Octane Render, Freestyle Render, 3Delight , RenderMan.
Pour les développeurs en Python
Blender dispose d’un code source presque entièrement écrit en C/C++ et compilé par gcc, et pourtant le logiciel dispose d’une myriade de plugins en Python.
Blender a toujours entretenu avec le langage Python une relation étroite afin de permettre aux développeurs bénévoles de pouvoir coder simplement.
Si le langage Python a été écarté du code source du software, c’est uniquement dans un souci de performances afin d’exécuter des enchaînements de tâches répétitives comme le ferait un langage de script.
C’est grâce à ses nombreuses extensions développées par passion en Python que Blender est devenu un véritable logiciel de conversion, et les formats supportés sont très nombreux grâce aux plugins justement.
- 3ds Max file (.3ds)
- AC3D (.ac)
- Autodesk Drawing eXchange Format (.dxf)
- Autodesk FBX (.fbx)
- Wavefront (.obj)
- X3D Extensible 3D (.x3d)
- Autodesk Softimage (.xsi)
- Cal3D (.cfg, .xaf, .xmf, .xrf, .xsf)
- COLLADA 1.3.1 e 1.4 (.dae)
- DEC Object File Format (.off)
- X-Plane objets (.obj)
- DirectX (.x)
- LightWave (.lwo)
- LightWave Motion (.mot)
- M3G (.m3g, .java), MD2 (.md2)
- MDD (.mdd)
- MilkShape 3D (.ms3d)
- xfig export (.fig)
- VideoScape (.stl)
- VRML 1.0 et VRML97 (ou VRML 2.0, .wrl)
- Motion Capture (.bvh)
- X3D Extensible 3D (.x3d)
- OpenFlight (.flt)
- OpenInventor (.iv)
- Paths (.svg, .ps, .eps, .ai, .gimp)
- Pro Engineer (.slp)
- Quake 3 (.map)
- Radiosity (.radio)
- RAW Image File (.raw)
- Stanford PLY (.ply)
- STL (.stl)
- TrueSpace (.cob)
- X3D Extensible 3D (.x3d)
- Documents texte (.txt)
Cette liste évolue rapidement avec des ajouts et suppressions de formats supportés pour la simple raison que les évolutions du langage Python sont très rapides et pas toujours supportées par certaines versions de Blender.
Dans le monde du cinéma professionnel
Blender aura été utilisé pour les animations de films à succès tel que « Spider Man 2 » ou encore « Vendredi ou un autre jour ».
C’est d’ailleurs ce dernier qui a permis à Blender de se faire une réputation encore plus grandissante quand l‘on sait que tous les effets spéciaux ont été réalisés sous Blender sur plateforme GNU/Linux.
Séries TV, films… Blender est aujourd’hui très utilisé dans l’industrie cinématographique pour ses capacités inouïes en matière d’effets spéciaux, et nous rappelons qu’il s’agit pourtant d’un outil gratuit disponible donc également aux débutants.
Plusieurs projets sont en cours de développement et peuvent être suivis sur la page Wikipedia dédiée à Blender.
Du cinéma aux jeux vidéo
Le moteur 3D « Blender Game Engine » fait également des miracles grâce à son rendu 3D.
La simulation physique s’opère par le biais du moteur Bullet. Ce moteur 3D est géré par des scripts en Python avec un système de briques graphiques qui se connectent entre elles.
Citons le projet « Yo Frankie ! » comme jeu vidéo libre et gratuit conçu sur Blender.
Revivre les phases de la mission Mars Science Laboratory est possible grâce à la NASA qui développa une app web basée sur Blend4Web afin de contrôler le rover parcourant la surface de la planète rouge.
Besoin d’alternatives et de forks de Blender ?
Étant open source, d’autres projets secondaires et reposants sur Blender existent.
En forks nous pouvons citer :
- Mechanicalblender : conçu pour de la CAO,
- Upbge : une alternative à BGE (Blender Game Engine),
- Blendervelvets : conçu pour le montage vidéo,
- Bforartists : un fork de Blender avec une expérience utilisateur améliorée pour les débutants et professionnels.
Les avis des utilisateurs de Blender sur Windows, MacOS et Linux
Bon, gratuit et léger à installer avec une pléthore d’outils
La phase d’apprentissage et son temps d’implémentation est très long, les techniques avancées pour débuter à utiliser le logiciel sont compliquées, il n’y a même pas de librairies facilement accessibles pour ajouter des scripts qui amélioreront les performances et il n’est surtout pas facile de pouvoir trouver des tutoriels complets sur internet expliquant comment aller toujours plus loin dans les paramétrages.
Il est essentiel d’avoir des connaissances sur la modélisation 3D et l’animation mais l’on peut compter sur la communauté qui apporte un support.
Blender est idéal pour modeler des formes complexes sur une simple tablette. De plus, vous pouvez choisir le niveau de précision que vous souhaitez pour jouer sur les limitations techniques. Il est parfait en utilisation pour de la modélisation complexe qui requiert une exactitude dans les dimensions.
La modélisation 3D accessible pour tous.
Pour créer des jeux il est très bon et fonctionne parfaitement.
Il est en constante évolution et a besoin d’être un outil très complet pour les grosses industries en tant que logiciel de modélisation, pourtant j’ai l’impression qu’il y a des outils qui ne fonctionnent que sur ma tablette et pas sur l’ordinateur.
La modélisation de véhicules et de pièces automobiles est simple et suffisante, les outils de précision ne sont en revanche pas utilisables dans mon cas.
Il est parfait de débuter en mode 3D et de connaître toutes les possibilités et outils pour les animations et le réalisme. Quand l’on a besoin d’aide il y a des tonnes d’informations disponibles sur internet à propos du logiciel et de son utilisation. C’est ce qui est le plus important quand l’on a envie de réellement exploiter toutes les capacités du soft.
J’utilise Blender en complément d’autres outils pour fabriquer mes animations et ajouter certains effets spéciaux dont ce logiciel est vraiment le maître.
Pour les freelances c’est vraiment pratique de pouvoir compter sur un outil aussi utile et flexible pour bosser proprement et collectivement dans des projets complexes. Je participe d’ailleurs à quelques projets depuis que ce logiciel est devenu gratuit.
Une excellente opportunité pour entrer dans le monde de la réalité virtuelle
La possibilité d’importer et d’exporter ses projets dans différents formats est idéal pour nous permettre de développer ces projets dans différents outils tout à fait complémentaires eux aussi, ce qui en fait un software vraiment très flexible.
Pour que je m’adapte à la création de modélisation 3D dans des projets en architecture m’a pris plus de temps que ce que j’avais imaginé. En plus, vous devez bien comprendre qu’il va être essentiel d’utiliser d’autres outils comme le moteur 3D Unreal 4 pour avoir un rendu professionnel et gérer des modélisations complexes. 3D Max est plus simple dans certaines tâches par exemple.
Le plus compliqué est de bien prendre en compte qu’il faut un investissement important en apprentissage de l’outil mais le résultat en vaut vraiment le coup.
J’utilise Blender pour travailler les rendus de mes animations et de mes projets d’architecture, ce logiciel est ouvert et flexible ce qui me permet de l’implémenter avec Sketchup pro et d’autres programmes de cette lignée rendant le rendu très professionnel quand l’on sait que les résultats sont parfois très surprenants.
Le meilleur même si il est gratuit
J’ai fait des tonnes de tâches très différentes et pourtant je n’ai jamais rencontré une difficulté qui ne puisse être contournée. Si vous ne vous en sortez pas, il y a quoi qu’il arrive les scripts Python pour automatiser vos tâches et transformer des modèles de données complexes que vous aurez pourtant considéré comme impossible à gérer.
Une autre option très bénéfique est la manière dont l’on peut utiliser Blender qu’avec des raccourcis claviers. Quand vous êtes devenu un pro du raccourci clavier, se repérer dans des menus et boîtes de dialogue fait vraiment dépassé.
Le fait que Blender est gratuit et qu’il fonctionne grâce à des programmeurs bénévoles induit qu’il n’y aura bien souvent aucune documentation claire et précise sur les nouvelles options. Quoi qu’il en soit c’est une manière aussi de vous obliger à trouver de vous-même une solution plutôt que de demander à l’équipe de support de faire des tâches pour vous.
Blender est le choix par défaut idéal pour de la modélisation 3D depuis qu’il est gratuit et ses options sont comparables aux géants commerciaux de cette industrie. Si Blender est votre premier logiciel 3D, faites attention à la difficulté dans les aspects 3D car c’est quand même particulièrement compliqué.
Blender est sous licence GPL et restera toujours gratuit, il n’y a donc absolument aucun risque à se former dans le temps sur Blender ou de l’adopter dans vos structures pour vos employés. Blender dispose quand même d’une superbe documentation, des tutoriaux, une communauté et un support sur de nombreux sites et honnêtement, il faut reconnaître qu’en support utilisateur on ne peut plus compter que sur ce moyen là même si l’on paye très cher une licence commerciale.
Blender est l’un des meilleurs logiciels de modélisation 3D GRATUIT
Le seul truc que je n’aime pas à propos de Blender, c’est le temps immense qu’il faut pour vraiment apprendre à l’utiliser. Cela en décourage plus d’un. Quand j’étais plus jeune, j’utilisais un autre logiciel 3D parce que Blender était vraiment confus pour moi. Cela m’aura pris 1 an au moins pour vraiment apprendre à l’utiliser grâce à des cours, cela fait gagner beaucoup de temps.
Si vous avez une petite équipe ou si vous êtes un indépendant, Blender est le bon choix du moment que vous ne vous découragez pas facilement. Vous pouvez pratiquement créer n’importe quoi avec. C’est vraiment un bon logiciel très pratique en modélisation 3D. Vous pourrez rapidement monétiser vos modèles et rendus et donc par la suite vous pourrez très bien aller sur une solution peut être plus simple sur d’autres logiciels payants.
Blender est excellent et procure bien plus que ce que vous pouvez imaginer
J’utilise surtout Blender pour de la modélisation et animation 3D dans le développement de jeux, mais je me suis vite retrouvé à utiliser ses autres capacités comme du montage vidéo pure tout simplement parce que c’est possible avec Blender et que je n’avais pas trouvé à l’époque de logiciel comparable. Beaucoup de personnes se plaignent de l’interface utilisateur, mais il faut vous donner du temps, surtout quand l’on voit comment ce logiciel est facilement utilisable qu’avec des raccourcis claviers. Une fois que vous êtes habitué, vous trouverez le logiciel vraiment consistant et les raccourcis claviers très logiques.
Par exemple, vous n’aurez pas besoin de réapprendre à chaque fois les raccourcis car ils sont vraiment très logiques d’utilisation avec de l’habitude. Ce que j’aime également est le fait que Blender est un logiciel qui est tout le temps mis à jour et avec de nouvelles options et possibilités, cela est tout la beauté d’être géré et maintenu par le grand public et les développeurs bénévoles. Je conseille vraiment à tout le monde de laisser une chance à Blender de vous épater.
Il est différent des autres logiciels 3D payants mais ce n’est pas nécessairement une mauvaise chose donc ne le remplacer pas immédiatement juste parce qu’il ne s’utilise pas comme les autres logiciels.
Vous ne regretterez pas de l’essayer puisque de toute façon il est gratuit.
Le meilleur logiciel 3D gratuit du marché
L’autre chose que j’aime c’est que l’on peut configurer son interface et ses préférences utilisateurs. De plus, Blender dispose d’une bibliothèque très vaste de plugin.
Vous pouvez vraiment réaliser tout ce que vous avez toujours imaginé en 3d sur Blender. Aujourd’hui Blender est préféré dans l’industrie du film et du jeu. Mais encore une fois, vous pouvez faire vraiment tout ce que vous voulez en 3d avec Blender.
Je l’utilise pour ma société d’impression 3D et Blender m’a permis de créer plein de modèles 3D pour mes clients.
Blender est la solution ultime pour les nouveaux modeleurs 3D
La phase d’apprentissage est plutôt élevée et l’interface n’est pas des plus intuitives. L’une des difficultés quand l’on est un logiciel gratuit est que le confort autour de l’UI et de l’UX est typiquement toujours minimaliste.
Essayez-le, c’est ce que je recommande. Il m’a aidé dans mon business à réaliser des modélisations. Blender est disponible sur différents systèmes d’exploitation ce qui permet aux utilisateurs d’utiliser leurs propres techniques sur différentes plateformes très facilement.
Quel étonnant logiciel
Les meilleures options de Blender selon moi sont les suivantes :
• C’est gratuit et open source, vous pouvez littéralement avoir accès au moindre bout de code, voir qui a l’a fabriqué et comment il est fabriqué.
• Il ne plante que dans de très rares occasions.
• On a un bon rendu en prévisualisation
• Il est multiplateforme (mac/linux/pc)
• Il possède un workflow en single-file (il n’y a alors pas une arborescence de folie auto-générée quand l’on créé un nouveau projet).
• La modélisation est étonnamment simple (une fois que vous connaissez les raccourcis clavier).
• Il possède une fonction de recherche.
• On peut relier tout à n’importe quoi.
• Un composeur intégré.
• Un éditeur interne.
• Des plugins, des plugins et encore des plugins.
• Il y en a encore plus mais honnêtement je ne sais pas si vous en aurez besoin vu la lsite déjà énoncée.
Depuis la version 3.79 j’ai cependant quelques petits soucis :
• Il semble incompatible avec des vieilles cartes graphiques (j’ai des plantages quand j’essaye d’avoir un rendu par le GPU)
• L’éditeur de clip vidéo mérite vraiment un travail dessus pour le rendre fonctionnel
• Blender Cloud est plutôt onéreux pour moi
• Les plugins peuvent être pas cher, mais pas autant que ceux des standards de l’industrie 3D (FumeFX, V-Ray, etc.)
• Les thumb s’affichent vraiment doucement dans le navigateur
• J’aurais aimé qu’il y ait une option pour choisir son navigateur par défaut (Finder Explorer, etc.)
J’incite vraiment à mettre ses efforts dans l’apprentissage de l’utilisation de cet outil et de son interface malheureusement si unique. Cela en vaut vraiment, mais alors vraiment la peine.
Grand fan de Blender
Blender est basé sur l’idée que les raccourcis claviers sont bons pour toutes les actions et parfois vous essayez juste une combinaison pour voir ce qu’il va se passer à l’écran. Le moteur de rendu est aussi extrêmement rapide et utiliser l’éditeur de nœuds est un plaisir. En plus, il est gratuit.
Il est open source et a donc les désavantages que l’on retrouve dans ce domaine. J’aimerais une interface plus proche de Cinema 4D qui est pour moi tout aussi excellent.
C’est une énorme étape que de commencer à apprendre à l’utiliser mais une fois que vous savez comment utiliser Blender, il devient un outil extrêmement puissant.
Très complet. Un superbe projet open source.
Quand quelqu’un me demande de recommander un software de modélisation 3D sur PC, je recommande Blender parce qu’il est gratuit est facile à maîtriser. Il possède une énorme communauté avec des tonnes de documentations en anglais pour apprendre à débuter.
Son but est de l’utiliser à des fins artistiques ce qui fait qu’il devient difficile de définir avec exactitude les paramètres, dimensions, couleurs et autres, donc l’on doit utiliser des outils moins puissants ou importer des modèles existants.
J’ai toujours recommandé Blender pour débuter. Il est gratuit pour commencer et vous pouvez télécharger Blender gratuitement et facilement pour le tester. Si vous êtes à l’aise avec, tant mieux pour vous, sinon essayez alors Maya ou 3dsMax après coup.
Il est devenu un logiciel très sympa mais suffisamment puissant pour m’aider dans mes projets artistiques en impression 3D, pour de la sculpture, des animations, du mapping vidéo et autres. Avec suffisamment d’expériences il devient encore plus pratique pour faire des présentations, utiliser des medias pour plus d’interactivités, etc. avec des résultats très professionnels. Toutes ses fonctionnalités peuvent apporter de superbes résultats.
Mon avis sur Blender
Blender n’est pas aussi user friendly pour les nouveaux utilisateurs. Ça a été très compliqué quand j’ai commencé à l’utiliser, à essayer de comprendre comment faire des choses simples. Une fois que j’ai eu la tête complètement dedans, c’est allé beaucoup mieux.
Maintenant, Blender est gratuit à télécharger. Je recommande de le télécharger et de regarder avec des tutoriels pour bien en saisir l’esprit. Puis commencez à créer des objets. Cela peut sembler compliqué et difficile au départ mais cela ira de mieux en mieux si vous vous amusez réellement en l’utilisant. Cela ne fait pas de mal de le tester quoi qu’il arrive.
Utiliser ce logiciel m’a juste permis de penser très différent par rapport à quand j’utilisais Adobe. J’ai dû commencer à réfléchir et à trouver de nouveaux challenges comme essayer de comprendre comment appliquer des textures à des objets et être sûr d’avoir le bon mapping pour les bons objets.
Pour ce budget, il est surpuissant
Blender offre 3 modes : CPU, CUDA et OpenGL. Tous les 3 ont des options différentes disponibles pour les utilisateurs. Depuis que c’est basé sur une plateforme libre cela reste encore expérimental et il peut y avoir quelques bugs. Blender utilise quelque chose d’appelé un intégrateur qui un algorithme spécial pour le rendu et les lumières. Parfois c’est parfait, parfois c’est catastrophique.
Si vous n’avez pas prévu d’investir la moindre somme d’agent dans un logiciel, Blender est le bon choix. Après, si vous êtes un utilisateur de Maya ou de 3Ds Max, Blender propose une option pour vous orienter dans les raccourcis clavier et de continuer de travailler dans vos habitudes, ce qui est vraiment pratique pour les débutants.
Comme je l’ai mentionné auparavant, Blender est gratuit et est un logiciel libre. Sa taille totale est d’environ 85 Mo ce qui est vraiment rien en comparaison avec un logiciel décent de 3D sur le marché. Blender fonctionne avec des processeurs en 32 bit et 64 bit ce qui est très bon. Ils ont inclus la possibilité d’utiliser plusieurs sortes de périphériques d’entrée en plus de la souris, comme une tablette graphique ou encore un track pad.